Rejoinds-moi, il y a des cookies [Hallelujah] Bouclée ♥

• Âge : 17 ans
  
• Sexe : Féminin
  
• Sexualité : Hétérosexuel et puis, on verra.
  
• Race : Ange
  
• Club : Aucune idée

« Regarde dans ce miroir. Je vois une jeune femme ravissante, pleine d’assurance et d’énergie. Ah ! Et tu es là toi aussi ! »

Hallelujah, c’est avant tout une tête, un cou, un buste, deux bras et de deux jambes. Elle est constituée comme n’importe quel être humain. Enfin, presque. Ouais, parce qu’Hallelujah a les cheveux verts. Teinture oblige. Avant, c’était blond comme un mois d’Août au soleil. Comme sa mère. Mais le blond, ça ne lui allait pas. Enfin, rectification : elle trouvait que ça ne lui allait pas. De toute façon, elle adore ses cheveux, aussi verts qu’une forêt au soleil (oui, encore et toujours le soleil). Ils ne lui arrivent qu’aux épaules dans une coupe de cheveux… Bizarre ? S’il faut être originale, autant l’être jusqu’au bout. En fait, c’est plutôt spécial comme coupe. Derrière, c’est plus court tandis que sur le devant, on peut voir deux mèches plus longues. Elle a une frange qui la gène assez souvent et qui finit régulièrement sur le côté jusqu’au prochain passage chez le coiffeur. Et quand la mèche l’emmerde même en étant sur le côté, elle l’attache avec une pince toute brillante mais qui n’est là que pour être utile. Parlons de ses yeux de biche, planqués sous de longs cils. Pas des faux, hein, de véritables cils hyper longs. Ils sont verts (les yeux, pas les cils, hein). Un vert à couper le souffle. Enfin, non, mais ils sont verts. Et ils brillent. Quand elle pleure, quand elle sourit, quand elle n’affiche aucune émotion, quand elle se masque les yeux à cause du soleil. Mais le pire – et le plus beau – c’est quand vous la faites rire. Elle adore rire. Cela dévoile souvent une rangée de dents blanches. Des diamants. Diamonds are a girls best friend. Pardon, c’est sorti tout seul. Le meilleur, c’est que ça fait ressortir la couleur rose/rouge de ses lèvres. C’est beau et ça donne envie de l’embrasser. Non, pas vraiment.

La nature d’Ange veut qu’Hallelujah soit belle. Comme n’importe quel Ange. Elle est plutôt bien taillée. Tout en finesse, souplesse, légèreté. Comme un nuage. Elle est blanche comme un nuage. Les personnes ne connaissant pas le sens de la poésie s’obstineront à dire qu’elle est aussi pâle qu’un cachet d’aspirine. Poètes maudits, va ! Bande de sans cœur ! D’accord, j’arrête et je poursuis. Elle n’est ni trop grande, ni trop petite. Entre les deux avec un léger penchant pour la taille de naine. Ne lui dites pas, vous vous retrouveriez avec un coquard sur l’œil. Parce que la beauté, ça peut être aveuglant parfois. Vous n’avez rien lu, rien vu, rien entendu. Incognito.

Halley est indécente. Indécente dans la manière de s’habiller. Indécente dans sa façon de marcher. Indécente tout court. Elle porte des tenues indécentes. Belles, mais indécentes. Elle favorise les jupes courtes et les pulls munis de décolletés plongeants. Même pas parce que ce serait une éventuelle allumeuse, juste parce qu’avec ces décolletés, elle se sent moins oppressée au niveau du coup et qu’avec les jupes, elle se sent plus à l’aise. Elle met énormément de couleurs. C’est à la mode. Et quand même si ça ne l’était pas, elle en mettrait. Les couleurs et elle, c’est une gran histoire d’amour. Besoin d’autre chose ?

« T’es tout simplement invivable, Halley. »
Sans gêne ; paresseuse ; bornée ; envieuse ; bruyante.

Hallelujah est tout simplement invivable. Elle est aussi bornée qu’un mulet, voire même pire. Une fois qu’elle veut quelque chose, elle met tout en œuvre pour l’avoir sans risquer de lâcher prise. Et quand elle se rend compte que le résultat est voué à l’échec, elle daigne enfin abandonner la partie. Surtout qu’elle est envieuse comme pas possible. Elle veut tout avoir. Elle a cette manie de toujours vouloir avoir ce que les autres ont déjà, même si cela ferait d’elle une copieuse. Elle en a rien à foutre, d’être une copieuse, tant qu’elle a le collier d’une telle ou la chemise d’un tel. Oui, elle aime les fringues des garçons. Mais revenons à son problème d’envie. C’est infernal, cette partie d’elle, parce que quand on a un truc, elle le veut absolument. Bon, je pense que vous avez compris, hein. Le problème, c’est qu’elle ne va jamais jusqu’au bout, sauf quand le projet lui tient véritablement à cœur. Elle est paresseuse, vous comprenez ? Hallelujah préfère couler des jours heureux dans son lit que sur un terrain de sport. Le sport, c’est juste pour le plaisir de voir des garçons en tenue sexy, le reste, on s’en fout. Elle est bruyante, aussi, et ne manque jamais une occasion de se faire remarquer. Je crois que c’est parce qu’elle aime quand les gens la regardent. Mais Halley est capable de tout. De plus, elle est totalement sans gène. Je pense que si elle le pouvait, elle se promènerait en sous-vêtements ou elle irait squatter les chambres des autres sans y être invitée. Je le sais, elle le faisait souvent chez moi.

« Enfin, t’as quand même des qualités… Mais tu restes invivable ! »
Douce ; sociable ; optimiste ; tenace ; directe.

Mais Hallelujah n’est pas une véritable calamité, elle a quand même des bons côtés. Elle est aussi douce que les agneaux. Elle déteste faire mal. En même temps, si elle adorait le sang, on se poserait des questions sur sa nature d’ange. Elle favorise les câlins, parce que c’est nettement plus adapté à sa race. En même temps, ce n’est pas une Walkyrie, qu’est-ce qu’elle irait foutre avec des armes ? Halley est incroyablement sociable, elle arrive à s’entendre avec beaucoup de monde sans porter un jugement direct sur leur passé ou leur futur. Elle aime être entourée de diverses personnes. Elle a toujours été comme ça, si je me souviens : elle a peur d’être seule. Elle pense que sans personne à qui parler ou se confier, on n’existe pas. Elle a besoin de parler, ça la soulage. Et puis, avec son côté optimiste, on n’a pas de mal à lui tenir compagnie. Elle voit la vie à travers les couleurs de l’arc-en-ciel. Il n’y a pas de noir chez elle, juste du bleu, du jaune, du rose et énormément de vert. Elle adore le vert. Une autre particularité chez elle, c’est sa ténacité. C’est qu’elle est tenace, la grognasse. Vous allez certainement dire que cela rejoint son côté borné, mais ce n’est pas encore ça. Elle tient facilement en face à face. Eh ouais, il ne faut pas s’en prendre à son protégé ou aux personnages avec qui elle reste. Voilà, je crois que j’ai bouclé l’affaire. Ah non, une dernière petite chose : quand elle a quelque chose à dire, elle le dit, elle ne tourne pas pendant trois heures autour du pot en chipotant nerveusement à ses doigts. Mais on l’aime tous, ce côté direct. Non ? Bah tant pis.

« J’ai toujours vécu au Japon. Je suis née et j’ai grandi au Japon même si mon prénom n’appartient pas à la culture du pays. A cause de ça, on me prenait pour une étrangère. Enfin, la couleur de mes cheveux y était aussi pour quelque chose. Les cheveux blonds étaient – et le sont toujours – soit extrêmement rares, soit absolument pas naturels. Dans mon cas, comprenez que c’est différent. Mes ancêtres venaient d’En-Haut. Je suis un Ange. Ma mère est un Ange. Ma grand-mère était un Ange. Mais comme n’importe quel être humain, nous ne savons pas grand-chose sur ce que l’on appelle le Paradis. Y parait que c’est beau. Et que les oiseaux nous mangent dans les mains comme le font les écureuils à Central Park. J’aime beaucoup les oiseaux, en particulier les grands comme les cigognes, les hérons ou les grues. Parce que quand ils volent, ils dégagent une grâce énorme et enivrante. J’aime New York, aussi, d’où l’allusion aux écureuils et à Central Park. Cette ville est presque similaire à une grosse fourmilière pleine de vie. Mais en beaucoup plus agitée. C’est ce que j’aime. L’agitation, le bruit, les personnes sur les trottoirs. Tout ce qui peut me rappeler que je ne suis pas seule. J’ai peur de la solitude. C’est étrange mais je ne supporte pas d’être seule. Sinon, je deviens folle, je panique, je m’effondre et je frôle la paranoïa. Je pense que c’est du au fait que ma mère, Meiko, me laissait seule presque toutes les nuits. J’avais beau pleurer, me mettre à genoux, la supplier, elle finissait toujours à partir pour le boulot. Et je restais dans le couloir avec Zen et Monsieur Clown. Parlons d’eux, tiens. Monsieur Clown est une vieille peluche représentant un clown aux couleurs délavées par le temps et dont le côté gauche de son bonnet a été maintes fois mâchouillés. Mais je l’aime quand même. Parce que c’est Zen qui me l’a offert quand je n’avais que quelques jours. Zen, c’est mon père. Sauf que je n’arrive pas à l’appeler ‘papa’. Je ne sais même pas pourquoi. Il est maladroit comme pas deux et des blessures de guerre stagnent sur son corps. Enfin, ‘blessures de guerre’, c’est juste le terme qu’il emploie pour ne pas dire qu’il a été terrassé par une poêle ou sauvagement attaqué par une Barbie en robe du soir. Sinon, il est fun. Il est humain. Faut dire qu’on ne croise pas un Ange à tous les coins de rue. Et puis, ma mère semble très attachée à Zen. Et croyez-moi, je suis bonne pour ces choses-là. Ma mère est infirmière, parce qu’elle adore sauver des vies. C’est dans notre nature. Zen est psychologue. Lui aussi, il aide les gens. C’était ça qui était cool. Meiko – donc, Maman – elle soignait le physique et Zen s’occupait du mental. Ils se complétaient l’un l’autre.

Les cheveux verts, c’est une idée de Zen. On avait fait un pari débile – tellement con que je ne m’en souviens pas – et le perdant irait se teindre les cheveux en vert. Et comme vous vous en doutez, j’ai perdu. Lamentablement perdu. C’est donc le cœur vaillant que je me suis résignée à me rendre chez le coiffeur. Et j’en suis ressortie heureuse comme un chat endormi. Le vert, ça me va trop bien. A cette époque, je portais encore les cheveux longs. Et puis, un jour, alors que je me regardais depuis dix minutes dans le miroir, j’ai eu besoin de changement. La première mèche fut la plus difficile à couper mais les autres suivirent facilement. Mes cheveux ne ressemblaient plus vraiment à quelques choses, mais je trouvais ça marrant. Si Maman en a été horrifiée, Zen, lui, a éclaté de rire en m’applaudissant. Fallait juste le temps de s’habituer.

Bon, c’est maintenant que les choses sérieuses commencent. Mon entrée à Suika Gakuen. Ce n’est évidemment pas un hasard si je me suis inscrite là. Ouais, je connais enfin l’identité de la personne qui a été choisie afin de bénéficier de ma protection. J’adore. Bon, tout ce que j’espère, c’est que ce soit un mec, parce que les filles, c’est galère. On croirait entendre un type venant d’un manga… Trop cool ! »

• Prénom : Hallelujah
  
• Âge : 15 ans
  
• Hobby's : Manger mes doigts ♥
  
• Code du réglement : [ C'est tout bon ]
  
• Comment avez vous connu le forum? : DC ♥
  
• Une remarque? : Du tout ♥
  
• Autre : ♥